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extrême droite - Page 2

  • Législatives au Portugal : à peine trois ans après sa création, le parti “Chega”, classé à l’extrême-droite, devient la 3ème force politique du pays

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2022

    Le Portugal n’avait jamais eu d’extrême-droite parlementaire depuis la Révolution des oeillets. C’est chose faire depuis les législatives du 30 janvier avec le parti “Chega”

    (…) Mais la vraie surprise d’hier n’est pas tant la victoire d’un socialiste dans des élections législatives. Non, la vraie surprise d’hier pour les Portugais, c’est la 3e place obtenue par l’extrême-droite de « Chega » qui signifie « Ça suffit ! » avec plus 7% des voix.

    Il n’y avait pas d’extrême-droite au Portugal

    Depuis le retour de la démocratie en 1974, après 48 très longues années d’une dictature conservatrice, était un peu comme le village d’Astérix : il résistait encore et toujours, non pas à l’envahisseur, mais à l’extrême-droite.

    La Révolution des œillets a d’ailleurs été celle des « capitaines d’avril », c’est-à-dire une sorte de coup de main conduit par des militaires de gauche et soutenu par la rue Depuis, aucun parti politique portugais n’a le mot « droite » dans sa dénomination.

    L’actuel parti de centre-droit, par exemple, qui est arrivé deuxième aux élections d’hier s’appelle Parti social-démocrate. Et il a longtemps été en coalition avec un parti plus à droite, mais appelé Parti du centre démocratique et social, ou CDS.

    La naissance de « Chega » est donc très récente, puisqu’elle date des dernières élections législatives de 2019

    Avec 1,3% des voix, ce parti jusque-là totalement incongru dans le paysage politique portugais obtenait un député : son président, Andre Ventura.

    Cette fois-ci, il en auront douze ! Or, ce nombre inédit de parlementaires, l’extrême-droite portugaise le doit à un seul homme : Andre Ventura qui a milité un temps au centre-droit, avant de comprendre que son avenir politique devait épouser l’exemple du voisin espagnol et de son parti d’extrême-droite, Vox.

    (…)

    France Inter via fdesouche

  • "l'extrême-droite"' est partout, en France; attention, danger !

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2022

    Un petit sourire, pour terminer cette série d'aujourd'hui, avec la querelle grotesque - mais finalement divertissante - de la semaine : Fabien Roussel, du PCF, a voulu défendre la gastronomie française : "un bon vin, une bonne viande, un bon fromage … c’est la gastronomie française et le meilleur moyen de la défendre, c’est de permettre aux Français d’y avoir accès".  Pour une fois qu'un communiste dit des choses "sympathiques", voilà qu'une partie de l'extrême-gauche - aussi radicale que foldingue - et des écolos dévoyés (évidemment, Sandrine Rousseau !...) lui tombent dessus, en qualifiant ses propos d'extrême-droite ! Bêtise, cinglerie, quand tu nous tiens ! Il y en a qui ont vraiment du temps à perdre ! Ces gens-là devraient faire attention : à ce compte-là, "l'extrême-droite"' est partout, en France; attention, danger ! :

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    Source : lafautearousseau

  • « Pétro-masculinité », extrême-droite et climatisme

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2021

    Mis à jour le 24 mai 2021 Auteur par Rédaction 

     On pourrait croire que c’est une parodie, mais non, le journal (subventionné) Mediapart est sérieux.

    La gauche tarée au travail. Quand elle touche le fond, elle creuse (mais sans trouver de pétrole).

    climatisme,extrême droite,pétro-masculinité

    Nous n’avons plus la force de commenter…

    Ca se passe de commentaire, de toute façon.

     

    Source : contre-info

  • Slovaquie : à l’approche des élections, un parti d’extrême-droite prônant l’expulsion des Roms fait un carton chez les jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 27 février 2020

    Par  le 27/02/2020

    fdesouche

    À l’approche des élections législatives du 29 février, le Parti populaire-Notre Slovaquie (LSNS) de Marian Kotleba profite du marasme politique pour gagner la confiance d’un nombre croissant d’électeurs désabusés.

    (…) Courrier international

    (…) Avec 10,4 % des voix, selon un sondage, ce parti (…) ne se contente pas de concurrencer les deux principaux partis (donnés à 17%), il semble également faire un carton parmi les jeunes.

    Un cinquième des 18-33 ans sont prêts à soutenir ce parti d’extrême-droite qui prône l’expulsion de la minorité rom, selon l’enquête.

    Pour le politologue Radoslav Stefancik, de l’Université d’économie de Bratislava, ces chiffres montrent l’importance du vote de protestation.

    « Les jeunes votent pour le LSNS parce qu’ils veulent être différents de leurs parents », a-t-il déclaré au BIRN. « Pour eux, le parti représente un nouveau type de politique et des politiciens qui ont le courage de dire les choses en faisant la sourde oreille au politiquement correct ».

    Notant que la rébellion des jeunes est naturelle dans toute société, Stefancik a ajouté : « Les jeunes ont une plus grande tolérance pour les solutions radicales ».

    (…) Lors des élections générales de mars 2016, (…) le parti LSNS a obtenu 14 sièges au sein du Conseil national, l’organe législatif de la Slovaquie, qui compte 150 membres. Kotleba lui-même a récolté un peu plus de 156.000 votes.

    (…) Environ 70 % des votes du LSNS ont été exprimés par des personnes âgées entre 18 et 39 ans.

    (…) Balkan Insight

  • De qui se moque-t-on ?

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2020

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    Le billet de Patrick Parment

    C’est reparti pour un tour ! Le ministre de l’Intérieur allemand affirme que la menace sécuritaire liée à l’extrême droite est « très élevée » et que cette dernière constitue « le principal danger » pour la démocratie allemande. On est à deux doigts du retour d’Adolf Hitler !

    D’abord de quoi s’agit-il ? Tout simplement d’un individu isolé qui a buté neufs personnes dans deux bars à chicha – vraisemblablement des immigrés car dans ces lieux on y fume le narguilé – à Hanau, une ville de 95 000 habitants proche de Francfort. Le tueur en question a été retrouvé mort chez lui au côté de sa mère également décédé. D’une personne à un complot d’extrême droite, le pas est franchi par les médias teutons. La mère Merkel monte au créneau à son tour alors qu’elle est la grande responsable de la violence qui sévit au sein de la société allemande avec sa politique laxiste en matière d’immigration et la venue d’un million d’immigrés sans jamais avoir consulté le peuple allemand. C’est proprement de l’assassinat économique et politique doublé d’un colonialisme légal mais inversé.

    Il ne se passe pas un seul jour en Allemagne – mais c’est aussi vrai aux quatre coins de l’Europe -,  où des immigrés, tous extra-européens, ne commettent crimes, viols, agression diverses et variées. En réponse, on constate le silence gêné de nos politiques tous morts de trouille. Ils crient au loup mais n'agissent pas !

    Donc, partout s’élève la révolte des Européens qui en ont ras-le-bol de voir leurs gouvernants baisser leur froc devant les immigrés en général et les musulmans en particulier. De ces musulmans qui privilégient le Coran  aux lois de la République. Angela Merkel est largement responsable de la montée des partis nationalistes et identitaires, notamment l’AfD. Si le nationalisme c’est la guerre, alors il n’est jamais que la conséquence logique des erreurs, du laxisme moral et des faiblesses de la République. Nos libéraux-libertaires confondent le monde tel qu’il est avec celui des bisounours dont ils rêvent.

    La réalité, c’est la guerre larvée qui mine nos banlieues autour des trafics de drogue et des prêches salafistes. C’est l’extension des zones de non droit qui échappent aux lois de la République. De la Suède à l’Espagne, de l’Europe centrale à la Grèce, c’est partout le même vent de révolte, car les mêmes causes produisent les mêmes effets.  Nous n’en sommes qu’aux prémices de changements politique radicaux. Les baltringues médiatiques qui enfilent les perlent à longueur de journée n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer, car l’heure viendra de régler la facture de leur veulerie.

     

    Source : synthesenationale